Il s'agit d'un décret royal émis dans la ville de Memphis par les prêtres de Ptolémée V. L'égyptologue Jean-François Champollion a pu déchiffrer les anciens hiéroglyphes égyptiens Hiéroglyphes égyptiens Hiéroglyphes égyptiens (/ˈhaɪrəɡlɪfs/) était le système d'écriture formel utilisé dans l'Égypte ancienne. Les hiéroglyphes combinaient des éléments logographiques, syllabiques et alphabétiques, avec un total de quelques 1 000 caractères distincts. Les hiéroglyphes cursifs étaient utilisés pour la littérature religieuse sur papyrus et bois. https://en.wikipedia.org › wiki › Hiéroglyphes_égyptiens
Hiéroglyphes égyptiens - Wikipédia
à travers les formes ovales trouvées dans le texte hiéroglyphique, qui sont connues sous le nom de Kharratis et incluent les noms des rois et des reines.
Qui a déchiffré la pierre de Rosette et comment cela a-t-il été fait ?
Cependant, la structure du script était très difficile à élaborer. Après de nombreuses années d'étude de la pierre de Rosette et d'autres exemples d'écriture égyptienne ancienne, Jean-François Champollion déchiffre les hiéroglyphes en 1822.
Comment la langue égyptienne a-t-elle été déchiffrée ?
La langue des anciens Égyptiens a déconcerté les archéologues jusqu'à ce que les hiéroglyphes soient déchiffrés avec soin à l'aide de la pierre de Rosette. La découverte de la tombe de Toutankhamon n'aura pas lieu avant un siècle, mais en 1821, à Piccadilly, à Londres, une exposition sur l'Égypte ancienne a été ouverte.
Comment la pierre de Rosette a-t-elle déchiffré l'égyptienhiéroglyphes ?
La pierre est une partie cassée d'une plus grande dalle de pierre. Il a un message gravé dans it, écrit en trois types d'écriture. C'était un indice important qui a aidé les experts à apprendre à lire les hiéroglyphes égyptiens (un système d'écriture qui utilisait des images comme signes).
Les Britanniques ont-ils déchiffré la pierre de Rosette ?
La pierre, qui est tombée aux mains des Britanniques en 1801 et se trouve maintenant au British Museum, a été cruciale pour le déchiffrement des hiéroglyphes égyptiens par le savant anglais Thomas Young et le savant français Jean-François Champollionau 19ème siècle.