Il a été inventé en 1817 par le Parisien Jean Asté, connu sous le nom de Halary, et a été largement utilisé dans les groupes et orchestres français et britanniques jusqu'à ce qu'il soit remplacé par le tuba vers la fin de le 19e siècle.
Comment se joue l'ophicléide ?
Son long tube se replie sur lui-même, et il est joué avec un bec en coupe similaire aux becs modernes de trombone et d'euphonium. Il avait à l'origine neuf touches, mais s'est ensuite étendu jusqu'à onze touches avec douze trous (double trou pour le mi), couvrant les grands trous de tonalité.
Comment l'ophicléide a-t-il été fabriqué ?
L'ophicléide fait partie de la famille des clairons à clé inventé par Hallary au début des années 1800. Alors que les membres soprano de la famille (au moins en mib, ut et sib) étaient fabriqués en une seule bobine, en forme de clairon, les membres plus grands étaient faits debout.
Qui a inventé le serpent ?
Il a probablement été inventé en 1590 par Edme Guillaume, un chanoine français d'Auxerre, comme une amélioration des versions basses du cornet apparenté. Il est fait de bois dans une courbe sinueuse de 7 à 8 pieds (2 à 2,5 m) de long, et il a un alésage conique et six trous pour les doigts.
D'où vient l'instrument serpent ?
L'instrument aurait été inventé par un ecclésiastique nommé Edmé Guillaume en 1590 à Auxerre, en France, et a d'abord été utilisé pour renforcer le son des chœurs en plain-chant.