La gastroparésie diabétique (DG), signalée pour la première fois chez des patients atteints de diabète de type I en 1958, a un effet négatif significatif sur la qualité de vie et est une maladie chronique souvent débilitante. Parce que les symptômes de la DG et de la vidange gastrique sont encore peu corrélés, son épidémiologie est difficile à évaluer.
Comment la gastroparésie a-t-elle été découverte ?
La gastroparésie a été documentée par le diagnostic du médecin, en évaluant la vidange gastrique par scintigraphie, ou par les symptômes et la rétention d'aliments lors de l'endoscopie. Étant donné que la gastroparésie n'a été identifiée que chez les personnes qui se sont présentées pour des soins, les personnes chez lesquelles la GE n'a pas été évaluée peuvent ne pas avoir été identifiées.
Quel pourcentage de la population souffre de gastroparésie ?
Quelle est la fréquence de la gastroparésie ? La gastroparésie n'est pas courante. Sur 100 000 personnes, environ 10 hommes et environ 40 femmes souffrent de gastroparésie1. Cependant, des symptômes similaires à ceux de la gastroparésie surviennent chez environ 1 adulte sur 4 aux États-Unis2, 3.
La gastroparésie est-elle considérée comme une maladie rare ?
La véritable prévalence de la gastroparésie est inconnue, bien qu'on estime qu'elle touche environ 4 % de la population (3). Certains groupes de personnes sont plus à risque, notamment: les personnes atteintes de diabète, en particulier de diabète mal contrôlé, car une glycémie élevée prolongée peut endommager les nerfs au fil du temps.
Quelle est la fréquence de la gastroparésie idiopathique ?
Les étiologies (causes) de la gastroparésie sont nombreuses et variées. Les rapports d'un centre de référence tertiaire ont révélé que sur leurs 146 patients atteints de gastroparésie: 36 % étaient idiopathiques (causes inconnues), 29 % étaient diabétiques, 13 % étaient post-chirurgicaux, 7,5 % avaient la maladie de Parkinson et 4,8 % avaient des maladies du collagène.